Vendredi 30 juillet 2010 à 22:41

Je me suis senti vivre

Fermer les yeux sous les étoiles
Dormir auprès de la force du feu http://sanka.cowblog.fr/images/DSC6821.jpg
Savourer chaque instant pour en faire un rire
Faire hurler les sourires des gens qui m'entourent
Faire vibrer les rêves et nos avenirs

Est cela vivre?

Prisonnier d'un sous monde merveilleux
Je visite la nature et en découvre ses nombreuses phases de Bonheur
Imaginons que cela vive à jamais,
au moins dans nos mémoires nos pensées nostalgiques

Une complicité et une amitié sans secret
Vivre au son des cultures étrangères
Apprendre sans cesse
Découvrir des leçons de vie et se réveiller tous les matins de bonne humeur
Savourez la brise du vent, les tempêtes, les éclairs, le tonnerre et le chocolat blanc.


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Différentes chaleurs Humaines réunie dans un même esprit
...
Jude

Samedi 19 septembre 2009 à 1:42


    Perdu, entre les voyages, les paysages et mes pensées. Les sentiments passent ou cassent, mais ce qui est sûr, c'est qu'ils font grandir. Que ce soit de coeur ou d'esprit. A trop grande échelle je ne préfère pas imaginer ce que cela donnerai, mais une drogue prise en toute petite dose, dans des laps de temps écartés, peut-être facilement jouissive.

     En "demi-subconscience", je pense.

     C'est une partir d'échec dans la tête, le Blanc et le Noir, le Bien et le Mal, le Yin et le Yang, les contrastes, les souvenirs.
Une bibliothèque à gérer en permanence! Et à surveiller. Peu de gens disent ce qu'ils pensent, mais encore moins comment ils pensent. C'est trop intime. Ou alors, on ne prend pas le temps d'y réfléchir, c'est vrai, à quoi bon? Ca nous avancerai à quoi?! Le gars de 20 ans n'a pas que ça à faire de ses journées! Pourquoi moi alors? Qu'est ce qui fait que du haut de mon petit âge j'ose comprendre, essayer de traduire mes pensées en mots, comme ils viennent à moi? Sans prétention.

     J'ai, comme beaucoup, une Vie.
     Je ne voudrais pas passé à côté, ça je suis comme tout le monde. Mais les pensées, les différentes façons de voir les choses, les lueurs de nos imaginations, les arts, les émotions, me passionnent. Les couleurs ont des effets, les matières des objets et le goût de certaines saveurs me font parfois frémir, en cachette bien sûr...

NOUS SOMMES TROP CUL CUL!!!

    Ici nous avons tous un balais enfoncé bien profond dans le derrière avec le manche qui ressort de la bouche. Trop de gêne, trop de tabou, trop de sécurité générale. Mais manque de respect naturel.


    Je ne cherche pas le bon samaritain chez chacun, ce serait utopique, mais nous ne sommes pas tous des enfoirés d'hypocrites si nous le voulons, si nous avons Vraiment cette volonté.

     C'est une sagesse ou une prétention d'écrire ce bout de papier me direz vous, et je ne m'évade certainement trop vite des sujets (et je suis d'accord), mais je suis juste ce mec de 20 piges, qui se pose des questions, qui n'aura pas de réponse (pas croyant moi), donc qui se propose ses propres réponses de part les expériences que cette Vie lui impose, ou lui apprend...

     Mais comme qui dirait l'enfant, le nouvel arrivant ici, "l'innocent" demande souvent: "mais pourquoi?..."


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...Et nous grandissons...
Jude

Samedi 19 septembre 2009 à 1:18

Je ne sais plus ce que c'est que de toucher une fille, de sentir son odeur, sa chaleur, ses énergies . Qu'est ce qu'un regard posé, osé, sur moi? Ces yeux qui parlent tant à en perdre haleine choisissant les mots les plus beaux, les plus doux et les plus parfaits pour exprimer l'Amour, ou le désir.

Après avoir frôlé un peu les cheveux d'un sentiment trop puissant, je regarde et pense en arrière, à ce qui c'est vraiment passé. L'aveuglement de l'autre nous enferme dans une bulle, un monde unique, propre à soi-même, que seul l'autre arrive à percer, comprendre, partager et à aimer. On Aime partir, partir ailleurs, dans notre bulle. Faire l'Amour est l'apothéose des frissons, des sensations, des émotions, mais en particulier une Fusion qui nous berce à nouveau dans notre agréable cocon.

Je ne suis plus impatient de trouver la créature qui prendra patience de me connaitre. Il y a trop d'histoires gâchées aujourd'hui. Mais nous sommes de biens nombreuses âmes, et croire que j'ai ces seules pensées est faux, mais une sorte d'équilibre se doit de procurer, un jour, le Bonheur.

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Ma plume a un nouveau goût, mais elle n'a plus de nom.   
Jude

Samedi 19 septembre 2009 à 1:03

J'essaie de répandre un maximum d'Amour autours de moi, mais ce dernier ne rend rien. Ce monde est peut-être trop hypocrite. J'ai l'impression de ne pas avoir encore croisé quelqu'un de la même planète que moi alors que je croise des centaines de visages sur ce caillou. Merde. Je suis peut-être pas normal en fin de compte, toujours à la recherche d'autres esprits. C'est pas ici. Je dois partir. Ma vie s'écoule et je reste. Ras le bol! Ma vie sentimentale s'écrase sous les lambeaux blancs. Une force plus grande que la mienne. Ce ne sont pas des idées noires mais des déceptions.
Je veux voir les amis. Il n'y a peut-être que ça de vrai en fin de compte. Une vieille dame m'a dit qu'il y avait toujours un retour, je ne l'attendrai pas. 
Il faut vivre et le chemin mènera peut-être quelque part...


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Jude


Lundi 16 mars 2009 à 16:40

"Un frère jumeau à défaut de sang"
L'oncle que je suivais depuis 19 ans

Avoir fait ses premiers pas ensemble, une fête.
Grandir, vivre en rigolant, se moquer du reste
Voir notre humour et notre complicité germer
Un irremplacable duo était né.

La personne qui comptait le plus pour moi ici
Celle envers qui j'avais tant d'admiration et d'envie.

Un verre avec lui
jamais nous tombions dans l'ennuie
Aucune fille ne nous a jamais séparé,
les orages nous faisaient marrer
Nous avons bâti les plus belles histoires de Lego, les plus hauts murs de playmobile
Les meilleures aventures de héros et des scénarios des plus habiles
Nous n'étions pas que des frères quand tous les mercredis on se rejoignait à vélo.
Nous formions la paire des confrères rigolos.
Il était le mélange de l'intimité de la famille et la joie infinie d'entre potes en une seule et même personne.
Avec lui je sentais l'invincibilité, toutes minutes étaient une récréation sans l'alarme qui sonne.
L'un et l'autre étions près à tout
Rien n'était impossible
Tous les rêves rêvaient de nous
C'était l'illusoir et le réel qui nous rendaient fous.
C'est l'oncle capillaire qui me faisait tout découvrir,
Un Cartman reconverti dans la culture de Jim Morrison.
Nous étions cons et fiers de s'ouvrir avec le sourire.
Rien n'avait de tabou, rien de banal, rien n'était nul, ni personne.

Du judo au ski et de Usher à Bob, on en a vu des évolutions.
Des scènes où l'on se sentait plus libre que jamais, enfin pouvoir proposer au public une recette d'amitié qui marche.
C'était bien entendu des soirées où l'on se cherche, des secrets et des avis, des débats et des amis qui se détachent.

La seule chose qui m'attriste aujourd'hui est de savoir que je suis le seul à regarder en arrière, ce n'est pas bon et dieu s'il existait saurait comme je me retiens, mais c'est ma nature, j'y peux rien, je sais que l'on change mais le manque lui reste identique.


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Jude

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