Dimanche 12 octobre 2008 à 15:02

Les sourires s'effacent,
juste assez pour laisser de la place
On ne s'enlace ni ne s'embrasse
C'est l'ennui qui fait surface
Brise la glace pour t'en sortir
Vire de bord ou vire la elle
Chez toi c'est le bordel
Et tu souffres de soupir.

LMT est illimité.

Une fille à tirer, une fille attirante
Sur laquelle je peux tirer un trait
tellement navrante
c'est pour dire que je l'aime,
Celle-là est chiante,
Contre ma vie elle m'entraine.

Jude

Dimanche 12 octobre 2008 à 13:41

Je n'ai rien d'autre à dire, rien qu'à écrire
je préfère sans y réfléchir  m'abrutir
Peut-être qu'je m'abruti moi-même
mais au moins je pose ce que je pense
Un jour j'rigolerai de moi-même
Mais ce jour viendra qu'avec la chance
On n'est pas forcé a rester
on ne doit pas fléchir
c'est notre liberté de penser
chacun peut en sortir, ou pire.





Je voudrais revoir mes gens

voir ce qu'ils sont devenus
mais en croisant ces passants,
chacun censure l'autre presque nu



On est tous des grands paumés de la vie

Même elle on en cherche encore son sens
C'est pour dire si ce qu'il y a dedans nous interesse!
Alors on s'attache aux amis et heureusement on oublie

Peut être que je suis le seul con dans ma bulle
j'aimerai bien en sortir ou y laisser rentrer des gens
Mais voilà je sais que c'est dure,
Il faut oublier d'être conscient
je ne sais pas comment elle s'est formée,
sans le voir, je me suis éclipsé
Je suis le seul à voir ma sihouette
Même si ça a l'air bête

j'aurai dû rester lui-même
et oublier ce que j'éprouvais
je voulais sentir la poésie,
découvrir la jonglerie des mots
mais les mots m'ont submergés, m'ont noyés.
Et ce ne sont qu'eux que je vois à longueur de mes journées
Ils sont dis, cités, racontés et chantés.
Mais je ne les retiens pas assez.


Vais-je me noyer à l'air pur ou replonger pour respirer?


Des jeux de mots et des bêtises
que j'aimerai bien replacer pour remplacer,
mais c'est trop de sottises
pour mon pti cerveau écervelé
j'ai des pulsions, mais il est trop tard
La nuit fini sa mission, il ne fait plus noir


Je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus ce que je fou là
On est tous comme ca, mais heureusement ça ne se voit pas.


Souvent c'est le soir qu'on s'observe,
tel l'abruti dans sa bulle
On se socialise puis on y repense
un mois plus tard ou sans arrêt
j'en étais incrédule, jusqu'au jour où j'ai vu qu'ça m'arrivais
"Merde alors est ce que je décaroche?", c'est ce que je pensais.

Jude

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