Don't know why I'm still afraid
If you weren't real I would make you up
now
I wish that I could follow through
I know that your love is true
And deep
As the sea
But right now
Everything you want is wrong,
And right now
All your dreams are waking up,
And right now
I wish I could follow you
To the shores
Of freedom,
Where no one lives.
Remember when we first met
And everything was still a bet
In love's game
You would call; I'd call you back
And then I'd leave
A message
On your answering machine
But right now
Everything is turning blue,
And right now
The sun is trying to kill the moon,
And right now
I wish I could follow you
To the shores
Of freedom,
Where no one lives
Freedom
Run away tonight
Freedom, freedom
Run away
Run away tonight
We're made out of blood and rust
Looking for someone to trust
Without
A fight
I think that you came too soon
You're the honey and the moon
That lights
Up my night
But right now
Everything you want is wrong,
And right now
All your dreams are waking up,
And right now
I wish that I could follow you
To the shores
Of freedom
Where no one lives
Freedom
Run away tonight
Freedom freedom
Run away
Run away tonight
We got too much time to kill
Like pigeons on my windowsill
We hang around
Ever since I've been with you
You hold me up
All the time I've falling down
But right now
Everything is turning blue,
And right now
The sun is trying to kill the moon,
And right now
I wish I could follow you
To the shores
Of freedom
Where no one lives
Vendredi 28 novembre 2008 à 0:42
Vendredi 21 novembre 2008 à 12:14
Le secret de la réconciliation avec soi même réside dans le souvenir.
Jeudi 20 novembre 2008 à 14:38
Ce soir j'ai vu un Homme malheureux,
Une âme sans femme.
La tristesse était dans sa gorge
Une gorgée d'acide allant jusqu'au veine
Il visait déjà la morgue
Plutôt que de garder sa peine
Un homme beau parleur
A piqué sa femme d'un bouquet de fleurs
Il voudrait jouer à la pêche
Lui faire bouffer et le finir à la bêche
Compréhensible, vu sa trahison indescriptible
Mais la sagesse se croit indestructible.
Ah le bon Pascal...
Ses pensées sont des plus pures et innocentes
Après avoir tant aimé le coups de poignard qui te dévisage la vie
Cela va être dure de remonter la pente
Voici que d'un regard, Tu es trahi,
Tué pour un mal.
C'est souvent bon de parler à une oreille neutre
Mieux que de s'effondrer sur un traître,
Mais la mienne a vraiment été chamboulé
Fidèle à son écoute, boulversé
J'ai senti une haine qui s'égouttait de sa voix.
Cette rage enfouie le dégoûte, mais l'a boit.
Si ces sueurs froides pouvaient s'évaporer
Si les coeurs pouvait se réchauffer
Peut être que ses larmes cesseraient de se cacher.
Elles disparaitraient le plus longtemps possible
Avant de retrouver une âme plus paisible.
Tu as beau crier,
Les Hypocrites sont sans limite
Et nombreux en sont les acolytes.
Ils n'hésiteront pas à t'achever
Car ces personnes sont sans répis
Des focus munient d'une vraie science
Devant lesquels tu crois pouvoir faire confiance
Mais Rien est acquis.
Devoir redonner un sens à sa vie,
Rediriger les aiguilles de sa boussole
Passer outre,
Prendre de l'avant,
Tel est le défi du mort-survivant.
Une âme sans femme.
La tristesse était dans sa gorge
Une gorgée d'acide allant jusqu'au veine
Il visait déjà la morgue
Plutôt que de garder sa peine
Un homme beau parleur
A piqué sa femme d'un bouquet de fleurs
Il voudrait jouer à la pêche
Lui faire bouffer et le finir à la bêche
Compréhensible, vu sa trahison indescriptible
Mais la sagesse se croit indestructible.
Ah le bon Pascal...
Ses pensées sont des plus pures et innocentes
Après avoir tant aimé le coups de poignard qui te dévisage la vie
Cela va être dure de remonter la pente
Voici que d'un regard, Tu es trahi,
Tué pour un mal.
C'est souvent bon de parler à une oreille neutre
Mieux que de s'effondrer sur un traître,
Mais la mienne a vraiment été chamboulé
Fidèle à son écoute, boulversé
J'ai senti une haine qui s'égouttait de sa voix.
Cette rage enfouie le dégoûte, mais l'a boit.
Si ces sueurs froides pouvaient s'évaporer
Si les coeurs pouvait se réchauffer
Peut être que ses larmes cesseraient de se cacher.
Elles disparaitraient le plus longtemps possible
Avant de retrouver une âme plus paisible.
Tu as beau crier,
Les Hypocrites sont sans limite
Et nombreux en sont les acolytes.
Ils n'hésiteront pas à t'achever
Car ces personnes sont sans répis
Des focus munient d'une vraie science
Devant lesquels tu crois pouvoir faire confiance
Mais Rien est acquis.
Devoir redonner un sens à sa vie,
Rediriger les aiguilles de sa boussole
Passer outre,
Prendre de l'avant,
Tel est le défi du mort-survivant.
Jude
Mardi 18 novembre 2008 à 23:36
L'ironie est surtout un jeu d'esprit. L'humour serait plutôt un jeu du coeur, un jeu de sensibilité...
L'amour est le seul jeu auquel, lorsqu'on refuse d'y jouer, on risque de tout perde.
L'amour est le seul jeu auquel, lorsqu'on refuse d'y jouer, on risque de tout perde.
Mardi 18 novembre 2008 à 23:23
Words are flowing out like endless rain into a paper cup,
They slither while they pass, they slip away across the universe
Pools of sorrow, waves of joy are drifting through my open mind,
Possessing and caressing me.
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
Images of broken light which dance before me like a million eyes,
That call me on and on across the universe,
Thoughts meander like a restless wind inside a letter box they
Tumble blindly as they make their way
Across the universe
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
Sounds of laughter shades of earth are ringing
Through my open views inviting and inciting me
Limitless undying love which shines around me like a
Million suns, it calls me on and on
Across the universe
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
They slither while they pass, they slip away across the universe
Pools of sorrow, waves of joy are drifting through my open mind,
Possessing and caressing me.
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
Images of broken light which dance before me like a million eyes,
That call me on and on across the universe,
Thoughts meander like a restless wind inside a letter box they
Tumble blindly as they make their way
Across the universe
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
Sounds of laughter shades of earth are ringing
Through my open views inviting and inciting me
Limitless undying love which shines around me like a
Million suns, it calls me on and on
Across the universe
Jai guru deva om
Nothing's gonna change my world,
Nothing's gonna change my world.
Across the Universe, The Beatles