Samedi 13 décembre 2008 à 18:00

Des émotions on en vie la blinde dans notre vie,
Elles nous frappent sur le coups, mais il arrive que parfois elles nous carressent.
En ce moment je vie l'envie
Celle qui souvent nous rend fou, et qu'on adore lorqu'elle se transforme en paresse

Ce n'est plus du désir, c'est une salade composée de complicité et de sens.
Une liberté de s'exprimer et d'échanger comme bon vous semble
On s'oublie et s'affirme à la fois,
Se fragilise dans le son de nos voix.


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Que ce soit aux jeunes heures de l'aurore ou aux lourdes heures nocturnes
Ses sourires, ses pensées, sa sincérité et son naturelle font ma fortune,
Une richesse de plaisirs, qu'ils soient dans le rire ou dans la fusion de nos corps,
Une abondance de bien-être à cacher dans mon coffre fort.


Elle est Magnifique,plus qu'Adorable,si Naturelle... ajouter à celà quelqu'un Ouverte d'esprit et vous obtiendrez la Nana évanouie au dessus des nuages angéliques...
Jude

Jeudi 20 novembre 2008 à 14:38

Ce soir j'ai vu un Homme malheureux,
Une âme sans femme.

La tristesse était dans sa gorge
Une gorgée d'acide allant jusqu'au veinehttp://sanka.cowblog.fr/images/MadWorldbyVioletEvans.jpg
Il visait déjà la morgue
Plutôt que de garder sa peine

Un homme beau parleur
A piqué sa femme d'un bouquet de fleurs

Il voudrait jouer à la pêche
Lui faire bouffer et le finir à la bêche
Compréhensible, vu sa trahison indescriptible
Mais la sagesse se croit indestructible.

Ah le bon Pascal...

Ses pensées sont des plus pures et innocentes
Après avoir tant aimé le coups de poignard qui te dévisage la vie
Cela va être dure de remonter la pente
Voici que d'un regard, Tu es trahi,
Tué pour un mal.

C'est souvent bon de parler à une oreille neutre
Mieux que de s'effondrer sur un traître,
Mais la mienne a vraiment été chamboulé
Fidèle à son écoute, boulversé

J'ai senti une haine qui s'égouttait de sa voix.
Cette rage enfouie le dégoûte, mais l'a boit.
Si ces sueurs froides pouvaient s'évaporer
Si les coeurs pouvait se réchauffer
Peut être que ses larmes cesseraient de se cacher.
Elles disparaitraient le plus longtemps possible
Avant de retrouver une âme plus paisible.


Tu as beau crier,
Les Hypocrites sont sans limite
Et nombreux en sont les acolytes.
Ils n'hésiteront pas à t'achever
Car ces personnes sont sans répis
Des focus munient d'une vraie science
Devant lesquels tu crois pouvoir faire confiance
Mais Rien est acquis.

Devoir redonner un sens à sa vie,
Rediriger les aiguilles de sa boussole
Passer outre,
Prendre de l'avant,
Tel est le défi du mort-survivant.


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Jude

Jeudi 6 novembre 2008 à 12:48

Les mains froides et les pieds froids
La sentence est passée
La tête n'est pas découpé
a la surprise de tout le monde, ou juste moi

C'est une résurection, l'excitation de la gorgehttp://sanka.cowblog.fr/images/Guillotine.jpg
qui s'impose malgrès moi
un an que je n'avais pas senti ça,
C'est même bizarement plus fort...
Il faudrait que je me repose
Ma la pensée l'emporte
Pause,
Pause de moi.
Exctinction des feux, du moins j'essais
Dure,
dure la boule
ca pique ca fait mal
c'est l'intérieur
ca mord,
c'est mort.

La guillotine a frappée
Elle a trouvé les endroits précis
Ceux qu'on ressent à l'infini
Cela sans la moindre pitié.

Les jolies fleurs dorées ne sont pas tombées
J'aurai peut être préferé être décapité pour être privé de cette satané gorge
mais la guillotine n'a  vraiment pas de pitié, aucune.
En effet, à ce niveau là, rien ne se contrôle

C'est la mauvaise période de l'année
Que voulez-vous, la vie n'est pas un film
On s'en fait beaucoup mais ceux de la vie finisse hélas en tragédie
C'est plus moderne, ça émeut le public, que voulez vous c'est peut-être une mode
Mais ce qui est bien c'est que pour une tragédie endurée, une comédie vous est offerte, enfin pas à vous, à votre voisin.

Ce soir la scène est trop noire, on n'y voit rien, plus de lueur plus de bougie,
Pas même la lumière, avant constante, des sorties de secours.
Voilà ce que c'est que de croire pendant un instant en l'Amour.

C'est triste, oui.http://sanka.cowblog.fr/images/SadandTired.jpg
bah merde alors, pourquoi?
 
C'est dommage
et ça en fait des dommages.

Ca ronge, ca picore
Immoral,
plus de morale,
pas ce soir.

Un souffle chaud surgit un cours instant en pensant à elle.
Car enfin elle sera heureuse.
Même si c'est dans les bras d'un autre, elle le sera, c'est ptet juste ce qui compte

Il fallait que j'arrête de penser à moi,
je me suis trompé
C'est pas ma faute, croyez moi
Si vous saviez....

Seul à connaitre la vérité, encore une fois
Ce papier est mon psy
à défaut de l'ami,
Il ne me répond pas, juste moi
C'est pitoyable cette situation
Mais je m'en fou, personne ne me vois ce soir, juste le con.

Enfin elle va bien dormir, ca lui réussi
qu'elle continu.

Quelque chose s'est construis,
une magie que moi seul doit me forcer à détruire
une obligation, concours de circonstance,
Je suis le pantin esclave passé à la potence.
Je paye les conséquences.

Dans les histoires, il y a une attraction créée
J'espère l'appeler Bonheur.
Au début il est réciproque, j'espèrais (déjà) sans heure
Il grandi, s'étouffe puis explose
Elle me conduit, me conduisait, sans pudeur
Et avec hésitation a fini sans le vouloir merci à exploser un des deux coeurs.

Il faut toujours payer, je le savais mais ne voulais l'accepter,
-haha, vous voulez rire? tout ca parce que j'y croyais!
Hilarant n'est ce pas...désolé.-
Plus la chose est précieuse et magnifique
Plus le prix est chers
Il y a un vendeur et un acheteur
J'ai vendu mon âme et acheté ma peine.
Mais c'est sans regret à côté du bien être qui se dégageait quand j'étais auprès d'elle.

Je vous jure que c'est très rare de ressentir cela, je le souhaite à tout le monde
et même s'il faut se retrouver comme un idiot seul un soir,
ces souvenirs vous transformeront,
un regard et vous ne pensez à rien
Juste un bien être sans personne autourshttp://sanka.cowblog.fr/images/firstpickbestimpressionbyCalciumDeficient.jpg
Une complicité, je savais qu'elle pouvait être sans fin
La preuve que j'avais tord.
Mais alors?
Sans regret, jusqu'au bout du bout du monde
Elle est encore là,
Elle a existé comme jamais, mais elle est toujours là!
Peut-être s'est elle tout simplement évanouie dans son brouillard
Un affreux cauchemar
Mais cela est encore plus Horrible d'espérer....
On dit que ca vous fait vivre, c'est faux, ca vous tue sans prévenir.
L'espoir est un grand traitre,
le plus camouflé de tous.
Quel âpat, c'est vrai qu'il épate...

I grieve for you.

J'ai admiré sa sincérité, son humour, sa beauté, sa timidé cachée, ses regards, ses manies incontrôlées (déjà observées), ses goûts, sa franchise, son style, sa gentillesse, son caractère, sa simplicité, ses histoires, son passé, ses façons, sa franchise, sa complicité... Si naturelle... Tellement rare...
Mais j'étais le seul à prendre une photo en ayant mis le flash.
J'ai oublié de mettre un miroir, un reflet.
J'aurai vu que je penser à nous plutôt qu'à elle seul.
Il ne fallait pas, bien sûr, quel grand con!
Je me suis oublié en elle.

Un corps saint qui s'est trop drogué d'un coups, qu'elle extase quand même,
Mais d'un autre coups, beaucoup plus sec, voilà un manque horrible qui me mène.
J'envie l'ancien drogué qui a assez d'expériences et de baggages pour en reprendre.
J'espère qu'il prendra conscience, un jour, de sa chance.
La drogue trouve un autre partenaire, une drogue qui paraissait douce
Mais ce soir je découvre que c'était en effet de la dure.
Mince je me suis bien avoir...

J'ai remarqué bizarement que ce que nous avions créé était un Bonheur.
On le partageait qu'à deux, rien que par le fait de former qu'une chaleur.
Maintenant séparé, il faut en faire quelque chose, le donner, elle le prend en me l'ayant laissé touché, wow je vous jure que ça vaut le détour! Et rien que pour ça je voudrai juste qu'elle le garde. Elle le mérite, sans elle il n'y aurait pas eu la moindre brique.
Quitte à ce que tanpis elle l'ait pour elle seule. Il faut qu'il soit quelque part. Ne surtout rien gâcher. Qu'elle garde le bien être, j'en construirai peut-être un autre dans longtemps...
Mais pour l'égaler je pense qu'il me faudra en effet pas mal de temps,
Je crois que je vais attendre, je ne peux pas faire autrement
Pfff s'il te plait petit temps fait ton boulot très vite car là j'en peux plus, je voudrais dormir et j'ai faim. Ou juste un câlin, une attention. Elle seule connait.
Dure de faire sa cure seul
On s'en donne plein la gueule.

Il y a des trucs comme ça,
La vie continue, mais ce soir, j'ai les mains froides et les pieds froids.
Jude

Samedi 1er novembre 2008 à 17:16

"T'es belle quand tu souris
t'es belle, même quand tu ne souris pas"
J'aurais dû penser par ma voix
et lui chantonner tout bas.

Pas besoin de maquillagehttp://sanka.cowblog.fr/images/1tbjld.jpg
Juste sa voix,  cette image

T'es belle à volonté
t'es belle sans le vouloir
Même dans les lueures les plus noires:
Une nuit de 4 5 jours et quelques heures, qu'on ne veut pas compter

T'es belle quand tu m'enlaces
T'es belle quand tu embrasses
Elle est trop, il n'y a pas de mots,
juste des idées et quelques infimes caresses.

Des conversations interminables
Aux émotions souhaitables,
Ces émotions qui apparaissent comme par magie,
Sans qu'on leur demandent leur avis
Elles viennent s'installent et fusionnent
Elles volent dans les airs autours des deux, pas trop haut, elles tourbillonnent.
Un jour, un soir, un matin elles se concrétisent
par une chose un peu moins ordinaire qu'une simple bise
Ca a d'abord un goût chelou, intriguant mais on en devient vite accro
c'est drôle, c'est peut être normal, mais on n'en imagine jamais les échos
Un tumulte de goûts de fusion et d'entraves
on sent une chaleur monter, suave,
Une complicité hors du commun jaillit alors,
On ne sera jamais d'où c'est né, mais on s'en fiche pas mal
Ce sont des rires, des regardshttp://sanka.cowblog.fr/images/438608203small1.jpg
Des sourires qui s'égardent à nos égards
C'est drôle,c'est touchant,c'est intense
C'est doux, c'est flippant, mais immense.

Les caresses coquines ou saintes adoucissent l'ambiance.
La rende plus torride ou l'apaise
On redécouvre des vieux tic rigides et nos vrais sens
Ca se fini parfois sans une ride par une jolie baise.

La fusion des corps est une image d'absolue confiance et une confirmation de l'envie
Les fictions de l'homme et l'évanouissement d'une femme sous ses désirs assoupis.

Qu'elle dorme, elle en est si belle
sans le vouloir,
c'est pour vous dire si elle ne cache rien au hasard

Une beauté qui n'a rien d'innocent mais tout de naturelle
Ca se fait de plus en plus rare mais je vous jure que c'est son cas à elle.

Sous ses airs des plus amicales, se cachent un visage plus qu'aimable
Des doutes sont là, fichu passé
Mais accepter une personne c'est prendre en compte ses défauts et ses qualités,
Le passé est une histoire avec une fin, elle se termine maintenant.

C'est drôle de ne penser à rien.
Rien que la personne qui respire le même air que vous,
un peu chaud, mais on s'en fou.
Juste deux personnes qui profitent de la vie sans rien autours
On ne peut pas dire qu'elles s'aiment, oh non bien sur, juste un carpe diem.
http://sanka.cowblog.fr/images/flammebougierouge.jpg
J'adore garder ces images pour moi,
Un grand album photo sans mot de passe dans ma tête.
A n'ouvrir que sous envie, mélancolie ou poèsie.
Oui il me sert aussi pas mal de source d'inspiration.

Savoir où elle est, ce qu'elle fait ou faisait, peu m'importe.
Mais si elle sait à quoi elle pense, alors là je suis près, je supporte.

Faire le beau tout le monde sait bien le faire à sa façon.
Mais il y a des beautés qu'on ne peut découvrir qu'en les fréquentants innocement
Et quand l'innoncence s'envole sans le vouloir,
je ne vous dis pas les effets qui se produisent:
Un parfum humain se dégage de nul part d'un charme presque involontaire,
Y'en a plus d'un que ca défrise!
C'est une chaleur, une harmonie et une complicité hors paire que j'ai découvers
je ne pensais plus que ca existait, merci, je n'ai plus besoins de traverser l'univers.
 
Un sourire ne parle pas,  je crois qu'il hurle calmement une sensation de bien-être
Le sourire qu'une seule personne ne peut comprendre,
Celui qui l'a causé et qui jamais ne voudra le reprendre.
Jude

Dimanche 12 octobre 2008 à 13:41

Je n'ai rien d'autre à dire, rien qu'à écrire
je préfère sans y réfléchir  m'abrutir
Peut-être qu'je m'abruti moi-même
mais au moins je pose ce que je pense
Un jour j'rigolerai de moi-même
Mais ce jour viendra qu'avec la chance
On n'est pas forcé a rester
on ne doit pas fléchir
c'est notre liberté de penser
chacun peut en sortir, ou pire.





Je voudrais revoir mes gens

voir ce qu'ils sont devenus
mais en croisant ces passants,
chacun censure l'autre presque nu



On est tous des grands paumés de la vie

Même elle on en cherche encore son sens
C'est pour dire si ce qu'il y a dedans nous interesse!
Alors on s'attache aux amis et heureusement on oublie

Peut être que je suis le seul con dans ma bulle
j'aimerai bien en sortir ou y laisser rentrer des gens
Mais voilà je sais que c'est dure,
Il faut oublier d'être conscient
je ne sais pas comment elle s'est formée,
sans le voir, je me suis éclipsé
Je suis le seul à voir ma sihouette
Même si ça a l'air bête

j'aurai dû rester lui-même
et oublier ce que j'éprouvais
je voulais sentir la poésie,
découvrir la jonglerie des mots
mais les mots m'ont submergés, m'ont noyés.
Et ce ne sont qu'eux que je vois à longueur de mes journées
Ils sont dis, cités, racontés et chantés.
Mais je ne les retiens pas assez.


Vais-je me noyer à l'air pur ou replonger pour respirer?


Des jeux de mots et des bêtises
que j'aimerai bien replacer pour remplacer,
mais c'est trop de sottises
pour mon pti cerveau écervelé
j'ai des pulsions, mais il est trop tard
La nuit fini sa mission, il ne fait plus noir


Je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus ce que je fou là
On est tous comme ca, mais heureusement ça ne se voit pas.


Souvent c'est le soir qu'on s'observe,
tel l'abruti dans sa bulle
On se socialise puis on y repense
un mois plus tard ou sans arrêt
j'en étais incrédule, jusqu'au jour où j'ai vu qu'ça m'arrivais
"Merde alors est ce que je décaroche?", c'est ce que je pensais.

Jude

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