Mardi 18 mars 2008 à 11:09



Dans le noir, la confiance apaise...


                                           



Body Painting
 

Dimanche 16 mars 2008 à 23:11

Que l'on soit blanc noir jaune,
Musulman chrétien bouddhiste,
Rebel  privilégié ou prolétaire,
Handicapé, homo
Pour ou contre notre société,
Nous sommes tous pour une planète,
Unie peut être pas,
Mais au moins une terre pouvant encore se permettre d'être,
Ranger vos armes nucléaires et vos satellites,
Changer, mieux vaut tard que jamais,
Je crois en un monde de paix,
C'est fou mais certains ont encore cette vue qui peu parfois paraître Utopique,
Baissez le Rideau de Fer, liez l'Atlantique au Pacifique,
Des yeux bridés aux larmes africaines,
Du premier rire d'un enfant au dernier soupir d'un homme vieillissant…

Où sommes nous arrivés ?
Massacres, meurtres, camps de concentration, extermination, vieux con !

Avec ou sans toi, peu ne m'importe mais que tu liquides mes proches pour ton bonheur, ceci n'est même pas concevable, va te faire foutre Hitler ! Ton monde tu te le dessineras sur du vieux PQ dans ton bunker, alors que tu n'oses plus admirer les millions de morts que tu as procréé, vieil enfoiré, enculé. Jamais tu n'auras de place dans quelconque cœur, car tu es un rare propriétaire méritant ta place au cimetière. Que tous les peuples crachent sur ta tombe, tu ne mérites aucun respect.  
Là où tu es, prends le temps de penser à toutes ces ruines marquées par ta puanteur, celle de la mort,  aux milliers de veuves et d'orphelins que tu as engendré par  ta folie. Ta race aryenne tu peux te la mettre où je pense, tu n'es qu'un psychopathe meurtrier, impossible à suivre parmi ses délires les plus cinglés.

Allez-y! Cultivez la guerre!
Je vous accuse comme beaucoup de « Crime contre l'Humanité »
Hiroshima, Nagasaki
Où sont donc passées vos valeurs Humanistes ? Elles semblent abolies
Ou peut être voulez vous que je vous explique ce que cela signifie ?
En plus il parait qu'il faut vous appeler « Monsieur »,
Pardonnez moi mais ce serez plutôt a vous de nous ……….
Nos vies ne se résumeraient donc plus cas une poignée de dollars ?
Le monde n'est plus que cendres
Des ghettos à Auschwitz, des massacres en Irak,
Notre monde n'est-il donc plus qu'un caillou de lave ou un endroit de racisme et de violences inutiles?

Sanka

Jeudi 13 mars 2008 à 12:03



"Saisir les rêves à porter de nos mains"

Mercredi 12 mars 2008 à 1:32


"Combien de potes, combien d'amis

Nous passent à côté tous les jours

A force de n'suivre que nos avis

Combien d'centaines de fois on s'gourre

Combien l'on a d'a priori

Combien de milliers d'fois on s'gourre

A force de n'vivre que nos envies

Combien de millions d'fois on s'gourre

Combien on manque d'histoires d'amour."                                                                

Les Wriggles
Délit de face, Yes

Mercredi 12 mars 2008 à 1:23

Déception au Zénith d'un soir.

Moi qui croyais ne jamais posséder ces pensées,
Voilà que maintenant elles se propagent naturellement,

J'espérais tellement plus de notre histoire,
Seulement les sentiments ne se contrôlent pas,
J'en suis la preuve même.
Pourquoi m'avoir fait tant subir si tu te prononçais vers moi au nom de l'amour ?
Aujourd'hui c'est un surplus de trahisons que je ressens surgir en moi,
Je voulais t'aimer mais tu n'étais pas de cet avis,
Je suis un amoureux déçus, trompée, trahi.
Pourquoi sont-ce toutes ces images qui surgissent dans ma tête ?
Ne pourrai-je pas oublier et te pardonner ?
Mon corps refuse à ma plus grande tristesse, lui aussi m'a trahi.
Mon âme se sent seul et ne peut plus compter que sur elle-même,



Moi,
Je croyais en un mot encore plus puissant que l'amour, que je trouvais banal,
Je croyais en une partie plus longue de ma vie,
Je croyais en de plus nombreux moments,
Je croyais en vous,
J'avais confiance,

Aujourd'hui la sphère de remords remplissant ma gorge ne fait que s'accentuer de part tes actes, tes propos, tes blessures.

Je croyais en la possibilité,
Je croyais en la confiance,
Je croyais en la relation,
     Je croyais en toi,
     Je croyais que tu étais imparfaite exactement comme je l'aimais
Je te croyais être unique,
Je te croyais plus forte que toute,
Je te croyais près de moi,
Je te croyais reine,
Et je te croyais...


Sanka

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